Restauration de la continuité écologique

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L’effacement du seuil de la ferme du château d’Imbleville (76)

Le seuil de la ferme du Château d’Imbleville est un obstacle à la continuité écologique situé sur la Saâne, un fleuve de première catégorie piscicole. Il est, par ailleurs, classé en liste 2 au titre de l’article L214-17 du code de l’environnement. Par conséquent : « tout ouvrage doit y être géré, entretenu et équipé ». C’est pourquoi, en 2011,

Effacement du seuil du moulin Bleu (76)

La Béthune est un cours d’eau classé en liste 1 et 2 de l’article L214-17 du Code de l’environnement, ce qui implique que pour : « assurer le transport suffisant des sédiments et la circulation des poissons migrateurs, tout ouvrage doit y être géré, entretenu et équipé. » En outre, un ensemble de plans et programmes (le SDAGE Seine Normandie,

Restauration de la continuité écologique sur 12 affluents de la Cure et du Chalaux (58, 89)

Les barrages, seuils et autres ouvrages présents sur les cours d'eau sont des obstacles à la continuité écologique: la libre circulation des poissons et des sédiments. Ils impactent les peuplement piscicoles théoriquement attendus sur nos rivières en empêchant certaines espèces de poissons de rejoindre leurs zones de reproduction. La Cure et le Chalaux sont

Restauration de la continuité écologique sur la Soude et la Somme-soude (51)

La continuité écologique, c’est la libre circulation des poissons et des sédiments. Lorsqu’un ouvrage tel qu’un barrage ou une buse est présent sur un cours d’eau, il porte atteinte à cette continuité écologique. Afin de la rétablir sur nos rivières, un classement en deux listes a été mis en place au titre de l’article

Installation d’une passe à poissons sur le Trinquelin (89)

En 1966, l’Abbaye de la Pierre qui vire a obtenu l’autorisation d’installer un ouvrage hydraulique sur le Trinquelin, un cours d’eau de première catégorie piscicole. Cet ouvrage consiste en une prise d'eau qui permet d’alimenter une centrale hydroélectrique 800m en aval. D’une hauteur de chute de 0,91 m, il est infranchissable pour l’ensemble des

L’installation d’une passe, moulin de Montmorency (76)

La Durdent est un cours d’eau classé en première catégorie piscicole au titre de l’article L436-5 du code de l’environnement, catégorie qui comprend les cours d’eau principalement peuplés de truites. La Durdent est aussi classée, au titre de l’article L214-17 du Code de l’environnement en liste 2. Cela signifie que pour : « assurer le

Restauration de la continuité écologique: effacement de l’étang de Bussières (89)

La Romanée est un cours d'eau classé en liste 1 et 2 de l'article L214-17 du code de l'environnement. Cela signifie premièrement qu'il joue un rôle de réservoir biologique, et que les espèces peuvent donc y accomplir l'ensemble de leur cycle de vie. Deuxièmement, afin de maintenir la libre circulation des poissons et des

Restauration de la continuité écologique sur 5 affluents de l’Yonne (58)

Pour se reproduire, la truite fario recherche des zones peu profondes, bien oxygénées, au courant élevé et avec un substrat composé de petits cailloux et de graviers. La femelle creuse une cuvette pour déposer ses œufs non fécondés. Un ou plusieurs mâles viennent ensuite déposer leur laitance. Une fois la laitance déposée, la femelle

La restauration du Dolloir : l’ancienne pisciculture d’Essises

Le Dolloir est un cours d’eau du département de l’Aisne. C’est un cours d’eau de première catégorie avec un fort potentiel pour accueillir l’intégralité des cycles de vie des espèces piscicoles comme la truite fario, espèce repère de ce type de cours d’eau. Seulement, le Dolloir est encore cloisonné par une dizaine d’obstacles transversaux, à l’image de celui de l’ancienne pisciculture

La restauration de la Dhuys : l’ancien moulin de Ragrenet

La Dhuys est un cours d’eau du département de l’Aisne, jugé à fort potentiel pour la reproduction des salmonidés. En effet, ces poissons ont besoin de remonter les cours d’eau pour atteindre les frayères (zones de reproduction) situées en tête de bassin versant et ainsi effectuer l’intégralité de leur cycle de développement. C’est pourquoi, tout obstacle physique aux migrations

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